Ayant constaté que l’infestation parasitaire constituait un vice caché de la chose vendue, une cour d’appel en a exactement déduit que les demandes formées par l’acquéreur tant sur le fondement du manquement à l’obligation de délivrance que sur celui du manquement au devoir d’information ne pouvaient être accueillies.
Source : Cass. 3e civ., 18 janvier 2023 n° 21-22543, Publié