» Justifie légalementsa décision d’imputer la responsabilité des désordres au constructeur, la cour d’appel qui retient, écartant le moyen pris de l’acceptation délibérée des risques, qu’il appartenait au constructeur, en sa qualité de professionnel, de faire des travaux conformes aux règles de l’art et d’accomplir son travail avec sérieux, ce qui n’avait pas été le cas ainsi que cela résultait du rapport d’expertise, et de refuser d’exécuter les travaux qu’il savait inefficaces. »
Source : Cass. 3e civ., 21 mai 2014, 13-16855, Bull. à venir