La prise de possession deslocaux commerciaux par le maître d’ouvrage uniquement motivée par la nécessité de démarrer son activité
commerciale pour des impératifs financier ne caractérise pas la volonté non
équivoque de recevoir les travaux et empêche l’existence d’une réception
tacite, ce d’autant que ledit maître d’ouvrage n’avait pas payé l’intégralité
des travaux.