Résumé au bulletin :
« Une cour d’appel qui relève que le cahier des clauses techniques particulières prévoit que la société, mandataire du groupement momentané d’entreprises, est « seule et personnellement responsable de l’ensemble des travaux, qu’ils soient exécutés par elle-même ou par ses co-traitants », » le mandataire se déclare solidaire vis-à-vis du maître de l’ouvrage de l’ensemble des entreprises constituant le groupement » et que l’engagement de ce mandataire énonce que « le mandataire est responsable vis-à-vis du maître de l’ouvrage, du parfait achèvement, de la qualité et du respect du prix des ouvrages », en déduit exactement que la société mandataire doit, ès qualités, répondre de la faute d’exécution commise par la société chargée du lot revêtement de façade »
Source : Cass. 3e civ., 13 février 2013, n° 11-22427, Bull. à venir