L’absence de chiffrage et le chiffrage nonexplicite et réaliste des travaux dont les époux maîtres d’ouvrage se réservaient l’exécution ne permettent pas de les informer du coût réel restant à leur charge ; l’entrepreneur doit ainsi paiement des travaux mis à la charge du maître de l’ouvrage.
Source : Cass. 3e civ., 9 juillet 2014, n° 13-13931, 921, Bull